By A. G. Sertillanges
• Description : Au XVIIIe siècle, los angeles philosophie scolastique, par incompréhension de l. a. technology moderne, semble défunte. Par l. a. suite l'enseignement religieux se disperse dans l'éclectisme, nonobstant quelques philosophes catholiques (Lamennais, De Bonald, Gerbet, Rosmini, and so on) trop irréductibles pour être ramenés dans le giron de los angeles doctrine ecclésiale. Unir les penseurs catholiques pour los angeles conquête de los angeles pensée moderne, tel est, semble-t-il, le dessein de l'Église fin XIXe siècle en ressuscitant le thomisme afin de concilier culture et progrès au sein de l. a. doctrine scolastique (encyclique Æterni Patris du pape Léon XIII, 1879). On peut distinguer dans le néo-thomisme trois tendances : a) L'école historique, qui considère le système en soi, comme événement remarquable du moveé (les scolastiques se rapprochent des historiens de l. a. philosophie médiévale) ; b) L'école critique, qui considère quelques-unes des vingt-quatre thèses comme critiques probables seulement ou discute los angeles thèse de l'unité de forme et celle de l. a. contrast réelle entre essence et lifestyles ; c) L'école progressiste qui applique les principes du thomisme aux problèmes nouveaux, se proposant de les renouveler. C'est l'approche du Père Sertillanges pour qui l. a. réflexion thomiste se répand dans l'ensemble des domaines, de los angeles politique à los angeles métaphysique, de los angeles morale à l'épistémologie. Le néothomisme réactualise le réalisme en philosophie.
• Sur l'auteur : Antonin-Dalmace Sertillanges [1863-1948], en faith Antonin-Gilbert Sertillanges, est un prêtre dominicain français, philosophe moraliste de renom. En 1893, il fonde l. a. Revue thomiste.
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Tre. ordre des êtres est connu par la foi, par la foi également nous saurons notre condition comme êtres pensants, notre capacité et nos limites. engager dans le savoir par cette voie. œuvre, résoudre les problèmes du temps. unité de la science. ailleurs pour dessein de présenter sa philosophie dans son tout, nous devrons abandonner la méthode génétique esquissée dans ce premier chapitre. ensemble est de nature à fournir un schéma de la doctrine. intelligence. Dans le cas contraire, ce sera le contraire.
Ce philosophe est leur homme ; son œuvre est un trésor de famille, et « Docteur catholique » est son nom. Les gens du dehors ont intérêt sans doute à ne pas ignorer une telle force ; mais pour le catholique intelligent, cette ignorance est une défection. en éloigner, notamment en métaphysique, ne va pas sans péril » {1}. œil, tout au moins, sur une telle doctrine. ignorance ne convient pas, et ceux qui le disent sont mis en demeure, à leur tour, de faciliter dans la mesure où ils le peuvent la connaissance.
Est-ce pas pour cela que saint Thomas émet ces belles propositions, que, de toutes les façons de posséder une chose, connaître est la plus parfaite et la plus intime ? que la contemplation est le sommet de la vie ; ? en admettant que pour se continuer et se répandre ? en sera pas moins pleinement enrichissante. en jouir noblement, et le travail créateur et le Créateur même. être connu pourront se concevoir ? Peut-être approcherons-nous de la solution en disant que la synthèse dont on parle doit satisfaire à cette précise condition : il ne faut pas que celui qui devient ainsi un autre en soit modifié dans sa nature propre, sans quoi la prétendue connaissance serait une transformation, et ce ne serait plus une connaissance.